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Pourquoi la greffe ?

Début 2023, je me mets en quête du meilleur traitement possible et me livre à fond pour atteindre cet objectif !  Nous effectuons nos recherches avec rigueur et minutie tout en nous partageant les tâches ; nous engloutissons la littérature scientifique, scrutons l’avancée de la recherche, consultons différents spécialistes, etc.  Jusqu’au jour où je tombe, presque par hasard, sur un article parlant de la greffe de moelle osseuse contre la sclérose en plaques. Quelle chance ! Un autre monde s’ouvre : Le champs des possibles ! Je concentre alors toutes mes recherches sur cette approche thérapeutique dont aucun neurologue français ne m’avait parlé jusqu’ici. A la lecture de différents articles scientifiques, je comprends que cette maladie relève autant de l’hématologie que de la neurologie et que pour la stopper, il faut avant tout « soigner le système immunitaire ». Et c’est en cela que l'autogreffe de moelle osseuse arrive à point nommé ! Cette autogreffe permet de remettre à zéro le système immunitaire, comme une sorte de « reset », et ainsi cesser les atteintes au cerveau et à la moelle épinière et cela, avec une efficacité qui avoisine les 70 % (source ForSeps) pour ma forme de SEP. Certes, cette approche n’est pas sans risque mais le taux de mortalité global associé à l’autogreffe pour la SEP est aujourd’hui inférieur à 1%.

Pour me rassurer, je contacte les membres de la communauté des malades qui ont reçu ce traitement et lis l’ouvrage de David Fruchtman « La sclérose en plaques, cette maladie du sang ». Mes démarches ne font que confirmer mes choix et tout comme Fruchtman, je n’ai dans le fond, pas d’autres alternatives : « guérir ou  mourir». Aussi, c’est décidé, j’opte pour cette thérapie, l’autogreffe de moelle.

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LA SCLEROSE EN PLAQUES, C'EST QUOI ?

 

La sclérose en plaques est une maladie auto-immune qui affecte le système nerveux central. Une dysfonction du système immunitaire y entraine des lésions qui provoquent des perturbations motrices, sensitives, cognitives, visuelles ou encore sphinctériennes (le plus souvent urinaires et intestinales). A plus ou moins long terme, ces troubles peuvent progresser vers un handicap irréversible. Et si les traitements actuels permettent de réduire les poussées et améliorent la qualité de vie des patients, ils ont le plus souvent une efficacité insuffisante pour empêcher la progression du handicap à moyen terme.

Sclérose en plaques (SEP) ⋅ Inserm, La science pour la santé

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